Clips: à la rencontre des proches aidants

A la rencontre des proches aidant-e-s

Pour sensibiliser le grand public, des proches vaudois-e-s ou genevois-e-s ont accepté de partager leur expérience d'aidant -e auprès d'un membre de leur famille.

Le projet a été réalisé en 2014 par Bénévolat Vaud - Info-Entraide VD avec le soutien de la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS) (anciennement Service des assurances sociales et de l'hébergement (SASH)) en collaboration avec le Département de l'emploi, des affaires sociales et de la santé du canton de Genève.

Clip 1 : Joëlle explique comment elle a réagit lorsque son compagnon lui a expliqué sa maladie. Elle se définit comme proche aidante même si elle ne vit pas avec lui, du fait qu'elle a un rôle à jouer dans sa vie. 2'01

Clip 2 : Fréquenter le groupe d'entraide qu'elle a créé permet à Joëlle de ne pas se sentir seule dans cette situation et de trouver des astuces et des combines pour mieux réagir. 2'13

Clip 3 : Joëlle parle de l'importance de se ressourcer, d'être attentif à soi et de s'écouter pour pouvoir être dans la relation d'aide. 2'10

NAHOE

Nahoé prend soin de son mari depuis 7 ans, suite à une attaque cérébrale. Elle fréquente le Café des Proches de l'Espace Proches de Lausanne.

Clip 1 : Nahoé explique sa situation de proche aidante suite à l'AVC dont son mari a été victime. Elle met tout en place pour que certains aspects de leurs vies restent les mêmes. 2'09

Clip 2 : Nahoé bénéficie de diverses offres de relève pour répondre à son besoin de faire des pauses, pour se ressourcer et réfléchir. 2'17

Clip 3 : Les activités pour se ressourcer sont très importantes pour Nahoé car elles l'aident à trouver le calme. Nahoé parle aussi de la nécessité de trouver de l'aide pour ce qu'elle ne peut pas faire seule. 2'00

ALEXANDRA et SEBASTIAN

Alexandra et Sebastian ont un frère en situation de handicap. Leur famille bénéficie du service de relève Cerebral, insieme et Pro Infirmis Genève.

Clip 1 : Alexandra et Sebastian mettent en place d'autres méthodes pour apprendre à leur frère à faire les mêmes activités que tout enfant. Ils parlent de leur satisfaction à voir leur frère heureux. 2'27

Clip 2 : Alexandra et Sebastian ne se considèrent pas comme proches aidants car pour eux il est naturel de passer du temps avec leur frère. Ils relèvent la nécessité, pour leur maman, d'être entourée par des professionnels. 1'59

Clip 3 : Le dispositif autour de leur frère est très bénéfique pour la famille d'Alexandra et Sebastian. Leur frère est bien entouré et cela lui permet d'évoluer positivement. 2'09

DORIS

Doris accompagne sa tante, qui vit maintenant en maison de retraite.

Clip 1 : Doris parle des difficultés de sa tante à perdre son autonomie et à accepter de l'aide. Avoir le nom de proche aidante permet à Doris d'obtenir une reconnaissance de qu'elle fait pour sa tante. 1'53

Clip 2 : La tante de Doris ne voulait pas entrer à l'EMS. Doris témoigne des sentiments qu'elle a traversé durant cette période et de ce qui a changé dans la vie de sa tante. 2'14

Clip 3 : Doris parle de sa relation avec sa tante et de ce qui a été bénéfique pour elle d'être proche aidante. 1'59

PIERRE

Après avoir prit soin de sa femme, Pierre accompagne maintenant son fils atteint d'un cancer.

Clip 1 : Pierre explique son rôle de proche aidant auprès de sa femme. Même si cela n'était pas facile, s'occuper d'elle lui a permis de la découvrir différemment. 1'46

Clip 2 : Pierre nous parle de la pudeur dans la relation d'aide, entre son envie d'accompagner son fils et le besoin de ce dernier de ne pas alarmer Pierre et de rester autonome. 1'47

Clip 3 : Le besoin de partager sa situation est bien présent pour Pierre, mais il fait le choix de gérer ses émotions seul et de retirer le positif de cette expérience douloureuse. 1'43

JULIUS

Julius s'occupe de sa compagne, atteinte de la maladie d'Alzheimer. Il bénéficie des services d'Alzheimer Genève.

Clip 1 : Julius explique son rôle auprès de sa compagne, ce qu'il fait pour elle au quotidien. Il ne se définit non pas comme un proche, mais comme « le plus proche ». 2'05

Clip 2 : Demander de l'aide a été nécessaire pour Julius, même s'il lui a fallut du courage pour oser le faire. 1'59

Clip 3 : Julius parle du besoin de se changer les idées par diverses activités à l'extérieur. 2'01

LAMIA

Lamia est la maman de plusieurs enfants, dont l'un est atteint d'épilepsie. Elle est l'une des coordinatrices du groupe d'entraide autogéré pour parents de l'association Epi-Suisse.

Clip 1 : Lamia parle des premières convulsions de son fils et des bouleversements qui en découlent.

Clip 2 : Des aménagements ont été nécessaires pour que Lamia puisse s'occuper de son fils. Elle nous parle aussi de la difficulté à s'identifier au terme « proche aidant » lorsque l'on est parent.

Clip 3 : Lamia explique comment elle a trouvé du soutien et ce que cela lui amène de rencontrer des parents qui vivent une situation similaire à la sienne.

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