Détail objet

Auteur

Yannick Maury

Date du dépôt

01.03.2022

Département pilote

DIRH

Département en appui

-

Identifiant

22_QUE_13

Commission

-

Délais réponse du CE

01.04.2022

Dernière décision du GC

-

Texte déposé

À la suite du premier confinement COVID de mars 2020, les autorités ont pris l’initiative de délimiter des bandes cyclables sur plusieurs axes routiers du canton, ce qui nous réjouit grandement.

Ces bandes ont en effet non seulement permis d’encourager les Vaudoises et les Vaudois à privilégier le vélo pour leurs déplacements privés et professionnels, incitant ainsi au report modal, mais ont aussi permis de rendre le vélo visible en tant que mode de déplacement ordinaire.

 

Cela étant, certaines de ces bandes étaient censées être provisoires (dans l’attente d’aménagements plus développés) et ne bénéficient de fait pas d’une sécurité maximale. C’est par exemple le cas de la bande cyclable entre le giratoire proche de la Maison de la Rivière (Tolochenaz) et St-Prex sur la RC1. L’axe qui se situe entre Morges et Allaman est particulièrement fréquenté, du fait de la zone industrielle et commerciale qui s’y trouve. Puisque les automobilistes et les cyclistes doivent partager la route, la sécurité de ces derniers s’en trouve mise à mal, de l’aveu même de plusieurs utilisateurs et utilisatrices.

 

Ce constat me pousse donc à poser au Conseil d’État la question suivante :

 

 

Le Conseil d’État peut-il s’engager à sécuriser la voie cyclable entre Tolochenaz et St-Prex dans les plus brefs délais et faire en sorte qu’une bande cyclable soit créée et pérennisée afin que les cyclistes bénéficient d’une sécurité accrue ?

Partager la page

Partager sur :