Détail objet

Auteur

Jacques-André Haury

Date du dépôt

22.08.2023

Département pilote

DJES

Département en appui

-

Identifiant

23_QUE_38

Commission

-

Délais réponse du CE

27.09.2023

Dernière décision du GC

-

Texte déposé

En cas d’accident grave, la police cantonale publie souvent un communiqué de presse décrivant les circonstances de l’événement. Lorsque c’est le cas, elle précise que le conducteur en cause était sous l’effet de l’alcool et en indique même le taux.

Mais jamais n’est évoquée la présence de stupéfiants.

 

Tout au contraire, la police française annonce très souvent que le conducteur était sous l’emprise de stupéfiants. Elle l’a fait tout récemment lorsque deux Suissesses ont été tuées dans la région de Bordeaux par collision avec un individu sous l’influence de l’alcool et de stupéfiants.

 

Dans un objectif de prévention, il nous semble que cette information devrait également être fournie chez nous.

 

Nous nous permettons donc de demander pourquoi la Police cantonale vaudoise ne détecte pas systématiquement si un conducteur impliqué dans un accident se trouvait sous l’influence de stupéfiants et, si elle le détecte, pourquoi elle ne l’indique pas dans ses communiqués ?

Documents

LienTitre
  23_QUE_38-Texte déposéIntervention parlementaire

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