Détail objet

Auteur

Olivier Agassis

Date du dépôt

12.03.2024

Département pilote

DJES

Département en appui

DEF

Identifiant

24_INT_56

Commission

-

Délais réponse du CE

17.06.2024

Dernière décision du GC

Transmise au CE, 19.03.2024

Texte déposé

C’est sur le courrier d’un parent d’élève de 4 ans et demi adressé au directeur de la DGEO que je base mon interpellation.

Les cours d’éducation sexuelle dispensés aux enfants du canton par la fondation PROFA ne sont pas adaptés à tous les âges.

Dans son courrier le parent en question fait référence à certains termes et pratiques sexuelles déplacées et non adaptées à un enfant de 1-2 p.

Les brochures de cette fondation font références aux godes, plugs anaux et autres godes ceinture etc…

Dans sa brochure « Mon sexe et moi, 2021, page 8 » nous pouvons lire :

 

“En biologie, quand on parle de “sexe”, on englobe l’ensemble des parties du corps (les organes génitaux, mais aussi les chromosomes, les hormones, etc.) qui font que ton corps est considéré comme biologiquement femelle, mâle ou intersexué.

 

A aucun moment ils ne parlent de pourcentage et laissent penser aux élèves que la norme est  de :

33% femelles

33% males

33% intersexués

 

La réalité n’en est pas là, puisque la part des personnes intersexuées est de 1.7%.

Ce discours, orienté et manipulé laisse songeur et pose de graves problèmes de société.

Oui,  le monde change , oui  il faut s’adapter , mais il ne s’agit pas ici de faire évoluer les normes, mais de les remplacer, purement et simplement !  Et il n’est pas acceptable que des enfants, qui sont les adultes de demain, soient pris en otages de cette façon !

Où est la prévention des dangers de la pornographie sur le cerveau qui, selon une étude, semble transformer notre câblage neuronal  (addiction, dépression, anxiété, dysfonction érectile, conflit dans le développement psychosexuel, érosion du cortex préfrontal, déséquilibre dans la relation de couple, déformation de la réalité, femme objet sexuel, violence, baisse de l’estime de soi, etc.) ?

Où est la prévention sur les dangers des réseaux sociaux (addiction, abus, endoctrinement idéologique, anxiété, dépression, solitude, sextortion, cyberharcèlement, etc.) ?

 

Où sont les témoignages des nombreuses personnes trans mutilées à vie et qui disent avoir été manipulées ?

 

Par cette interpellation, j’ai l’honneur de poser les questions suivantes au Conseil d’Etat :

 

  1. Les cours dispensés par la fondation PROFA à nos élèves sont ils parfaitement adaptés à l'âge des enfants ?
  2. Ne devrait on pas mieux protéger nos élèves de l’idéologie extrémiste dispensée lors des cours d’éducation sexuelle dans l’école vaudoise ?

Je remercie le Conseil d'Etat pour ses réponses.

Conclusion

Souhaite développer

Documents

LienTitre
  24_INT_56-Texte déposéIntervention parlementaire

Séances dont l'objet a été à l'ODJ

DateDécision
19.03.2024
12.03.2024

Liste exhaustive des cosignataires

SignataireParti
Jacques-André HauryV'L
Josephine Byrne GarelliPLR
Laurence CretegnyPLR
Romain BelottiUDC
Nicolas BolayUDC
Michael DemontUDC
David VogelV'L
Bernard NicodPLR
Cédric WeissertUDC
Fabrice TannerUDC
Laurence BassinPLR
Stéphane JordanUDC
Yann GlayreUDC
Jean-Bernard ChevalleyUDC
Pierre-Alain FavrodUDC
Nicola Di GiulioUDC
Grégory DevaudPLR
Denis DumartherayUDC

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