Les résultats des analyses indiquent qu’aucune source significative de 1,2,4-triazole n’a été détectée, confirmant les informations reçues des entreprises du canton susceptibles d’utiliser ou de rejeter cette substance dans le bassin versant lémanique.
Les concentrations mises en évidence sur la Chamberonne sont expliquées par les rejets de l’EPFL-UNIL dans la Sorge et la Chamberonne, en lien avec leurs installations d’utilisation thermique des eaux du lac.
