Ce bilan laisse toutefois apparaître des valeurs trop élevées en matière de particules fines dans les centres urbains et à proximité des grands axes routiers. C’est le cas, par exemple, dans l’agglomération Lausanne Morges, qui connaîtra une forte croissance démographique d’ici à 2030 avec l’installation d’environ 75'000 habitants supplémentaires (284'000 habitants en 2015).
L’installation d’une station fixe de mesure là où se dressera le futur écoquartier lausannois des Plaines-du-Loup permettra ainsi de documenter plus précisément l’évolution de la qualité de l’air dans un secteur appelé à vivre l’une des plus fortes croissances du Projet d’agglomération Lausanne Morges (+10'000 habitants).