Votre identité

Section de recherche

Espace sécurisé

Gérez facilement vos démarches administratives en ligne pour les particuliers, entreprises, fondations et communes.
Exemples de démarches
  • Remplir et déposer sa déclaration d’impôt
  • Consulter son dossier fiscal
  • Remplacer son permis de conduire (particuliers)
  • S’inscrire à la maturité professionnelle post-CFC (étudiants)
  • Obtenir une première autorisation frontalière (entreprises)
  • Demander un soutien à un projet culturel (associations)
  • Accéder au registre cantonal des personnes (communes)

Portail IAM

Accès aux applications pour les collaborateurs-trices de l’Etat de Vaud et les partenaires.
Exemples d’applications
  • ACTIS (Camac 2010)
  • EasyVista
  • LAGAPEO
  • LA PLACE
  • NEO
  • PAREO
  • Passerelle Employeur - Impôts à la source
  • RCPers - Registre Cantonal des Personnes
  • Réquisition - Désignation Électronique (ReqDes)
  • RDU
  • Themis
  • Votelec - Dépouillement
  • Wiki projets ACV

23_REP_196 - Réponse du Conseil d'Etat au Grand Conseil à l'interpellation Vincent Keller au nom du groupe EP - Interpellation hébergement d’urgence (23_INT_130).

Séance du Grand Conseil du mardi 23 avril 2024, point 50 de l'ordre du jour

Documents

Transcriptions

Visionner le débat de ce point à l'ordre du jour
M. Vincent Keller (EP) —

Je remercie à nouveau le Conseil d’Etat pour la réponse à cette interpellation. Je prends acte de l’absence de plan spécifique pour les enfants. Le Conseil d’Etat indique ne pas prévoir de plan d’action particulier concernant les mineurs non accompagnés (MNA) étant entendu que le cadre légal existe en vue de leur accueil avec l’aide d’urgence et que la procédure actuelle fonctionne entre les structures d’urgence, la Direction générale de l’enfance et de la jeunesse (DGEJ), le Service des curatelles et tutelles professionnelles Lausanne (SCTP) et le Service de la population (SPOP). Dans sa réponse, le Conseil d’Etat semble premièrement confondre MNA et enfants, comme décrit dans mon interpellation. Cela démontre une assez faible préoccupation pour ces enfants qui n’ont rien demandé à personne et risquent très tôt de constater qu’ils font l’objet d’une forte discrimination. Ils vont donc assez naturellement se projeter dans cette expérience, être discriminés, ressentir qu’ils n’ont pas la même valeur que les autres, avec toutes les conséquences que cela entraînera.

Deuxièmement, quels que soient la situation des parents et les motifs ou les perspectives au nom de la protection des enfants et de leurs droits, la prise en compte de leurs besoins fondamentaux n’est pas envisagée. Il pourrait être rassurant que la réponse mentionne ces droits, qu’elle mentionne les difficultés liées au statut des parents et problématise le conflit entre moyens, droits de l’enfant et perspectives pour combler les déficits dans les différents domaines où ils se manifestent. Pour l’heure, ce n’est pas la volonté du Conseil d’Etat, ce que je regrette.

M. Laurent Miéville (V'L) — Président-e

La discussion n’est pas utilisée.

Ce point de l’ordre du jour est traité.

Retour à l'ordre du jour

Partager la page

Sur les réseaux