24_LEG_57 - EMPD crédit d’ouvrage de CHF 77'776'000.- pour financer la construction du nouveau Gymnase d’Echallens sur le site de Court-Champ à Echallens et un crédit d’investissement sous forme de subvention à fonds perdus de CHF 5'450'000.- en faveur de la compagnie du LEB pour contribuer à l’adaptation du passage inférieur de la gare d’Echallens permettant l’accès au nouveau Gymnase d’Echallens (1er débat).
Séance du Grand Conseil du mardi 18 mars 2025, point 29 de l'ordre du jour
Documents
- Texte adopté par CE - EMPD Crédit d'ouvrage et d'investissement Gymnase d'Echallens et adaptation d'un passage souterrain à la gare - publié
- RC- 24_LEG_57
Transcriptions
Visionner le débat de ce point à l'ordre du jourLa commission s’est réunie le 16 janvier 2025. Elle a traité l’exposé des motifs et projet de décret pour un crédit d’ouvrage pour la construction du gymnase d’Echallens ainsi qu’un crédit d’investissement sous forme de subvention à fonds perdu pour un passage sous-voies en gare d’Echallens. Mme la conseillère d’Etat Isabelle Moret ainsi que M. le conseiller d’Etat Frédéric Borloz étaient présents. M. Rémi Muyldermans a tenu les notes de séance ; nous le remercions pour la qualité de son travail.
L’établissement d’Echallens est une pièce indispensable dans le puzzle des gymnases vaudois. Son concept est proche de celui du gymnase du Chablais, intégrant bien évidemment des notions importantes de durabilité. Sa construction correspond à un besoin au niveau du bassin de population, mais permettra également la rénovation d’autres gymnases, notamment celui de la Cité. Quelques thématiques bien précises ont alimenté le débat ; je me bornerai à n’en citer que quelques-unes.
Si le stockage d’énergie n’est pas prévu dans l’immédiat, il est intéressant de constater que de futurs emplacements pour des batteries sont d’ores et déjà réservés. Sujet sensible et important, il a été démontré à la commission que les constructions et installations sportives prévues permettront de dispenser un nombre de périodes suffisantes afin de respecter la Loi sur le sport. Il est également à noter aussi que la commune d’Echallens et les communes du district du Gros-de-Vaud financent le surcoût lié à la conformité des salles de sport pour accueillir des compétitions de niveau national.
Les questions de mobilité sont incontournables pour un tel projet. La proximité avec la gare est bien entendu un atout, mais cela va forcément engendrer d’importants flux de personnes. On peut regretter que l’élargissement du passage sous-voies ne se fasse pas de manière simultanée, mais des solutions alternatives sont possibles dans l’attente de sa réalisation. Parallèlement, des places pour vélos, scooters et voitures sont prévues en suffisance.
De la végétalisation et des ombrages seront intégrés généreusement dans les aménagements extérieurs. On relèvera encore que les directives de durée d’amortissement différentes entre les communes et le canton suscitent toujours quelques incompréhensions. Pour terminer, je me plais à relever que, tout au long de la discussion, des réponses claires et convaincantes ont été apportées à toutes les questions soulevées. Finalement, la commission recommande à l’unanimité d’accepter l’entrée en matière sur ce crédit d’ouvrage et sur cette subvention à fonds perdu. Seules les durées d’amortissement mentionnées aux articles 2 ont entraîné 2 abstentions.
Projet de décret accordant au Conseil d’Etat un crédit d’ouvrage de CHF 77’776’000.- pour financer la construction du nouveau Gymnase d’Echallens sur le site de Court-Champ à Echallens
Premier débat
La discussion sur l’entrée en matière est ouverte.
Je déclare mes intérêts : je suis habitant et membre du conseil communal d’Echallens. Pour faire l’historique du gymnase d’Echallens, je dois reprendre la phrase phare d’Alain Berset : « Il faut agir aussi vite que possible, mais aussi lentement que nécessaire. » En effet, en 2017, le conseil communal d’Echallens avait accepté de vendre une parcelle au canton, localisée aux Trois-Sapins, avec une date d’ouverture espérée en 2021, mais cette vente n’a pas abouti. En 2020, le conseil communal valide la vente de la parcelle actuelle à Court-Champ. Cette vente est questionnée par un référendum et 60 % de la population d’Echallens a accepté l’implantation d’un gymnase à cet endroit.
Ce petit rappel historique nous dit que, premièrement, nous avons beaucoup trop perdu de temps dans cette saga, avec une ouverture actuellement prévue en 2028, alors qu’elle était initialement prévue en 2021 et que, deuxièmement, 60 % de la population d’Echallens est en faveur de ce projet à l’emplacement actuel. Troisièmement, comme l’a dit mon préopinant, dans ce projet de gymnase, la commune d’Echallens a prévu d’équiper la salle de sport triple VD6 de gradins qui permettront à la région un rayonnement sur le plan sportif. Je ne peux que vous inviter à soutenir ce projet de décret. Le Gros-de-Vaud attend désespérément son gymnase et la maturité en 4 ans ne fait qu’appuyer ce projet. Je vous encourage à entrer en matière pour les deux projets de décret.
Je déclare mes intérêts : je suis présidente de la région économique du Gros-de-Vaud, syndique et habitante du Gros-de-Vaud. Le projet de décret concerne un crédit d’ouvrage pour financer la construction d’un gymnase à Echallens dans le Gros-de-Vaud. J’ai envie de dire « bravo ! » et « enfin ! » Le président de la commission vient de vous donner en détail les différents éléments de ce projet de décret. Des coûts importants – plus de 77 millions – pour la construction de ce gymnase sont nécessaires ; nous en sommes conscients.
Ce gymnase est un besoin pour la population du Gros-de-Vaud et du canton. Cette population est en constante évolution. Il devient donc nécessaire de ne plus déplacer les jeunes étudiants de ce district aux quatre coins du canton, mais de les rapprocher de leur lieu d’étude. Ce gymnase intègre la prise en considération de la croissance démographique, des évolutions des méthodes et des programmes éducatifs ainsi que le passage de l’école de maturité en 4 ans. Cette construction contemporaine privilégie le bois et les techniques modernes pour répondre à toutes les règles actuelles sur l’efficience énergétique.
Cependant, tout comme lors du projet du gymnase d’Aigle, la réflexion n’a pas été faite dans sa globalité concernant le stockage d’énergie dans les batteries. Le Conseil d’Etat estime que, actuellement, ces dernières ne sont pas assez performantes. Mme la conseillère d’Etat promet que cette question importante reste un sujet à étudier. Le groupe PLR suivra les recommandations de la commission et acceptera l’entrée en matière et le projet de décret pour la construction d’un nouveau gymnase à Echallens.
Notre canton manque de gymnases ! Personne ne peut nier ce fait. Le projet présenté aujourd’hui est nécessaire et l’entier de la commission l’a reconnu. Ce rapport complet aborde les différents points discutés lors de nos échanges en commission : attribution selon une procédure de gré à gré, salles de sport et nombre d’heures de sport, stockage de l’énergie dans les batteries, dimension environnementale, concept de mobilité, les travaux du gymnase de la Cité, son impact sur le collège d’Echallens, etc. Le groupe socialiste soutiendra évidemment l’entrée en matière de ce projet de décret, comme l’unanimité de la commission.
Les changements que va rencontrer la formation postobligatoire, avec le passage du gymnase de 3 à 4 ans, impliquent de repenser la future réorganisation et de réfléchir aux conséquences sur l’enclassement des élèves. La construction du gymnase d’Echallens est donc primordiale, et ce, dans des délais à court terme. Le groupe socialiste reconnaît aussi qu’il est important de tisser une toile dans laquelle chaque région du canton peut avoir les infrastructures nécessaires à la formation de sa population, population qui voit sa démographie augmenter d’année en année, signe de la vitalité de notre canton. La mobilité liée au projet de construction du gymnase a été anticipée. Proches de la gare, des travaux sont envisagés, comme l’élargissement du passage sous-voies et l’augmentation des quais pour mieux gérer le flux des élèves, en concertation tant avec la commune d’Echallens qu’avec la compagnie du Lausanne-Echallens-Bercher (LEB). Pour toutes ces raisons, le groupe socialiste vous propose de soutenir l’entrée en matière de ce projet de décret.
En complément des mots qui viennent d’être dits, nous le répétons à chaque fois et nous le répéterons autant qu’il le faudra – cela ne concerne pas Mme la conseillère d’Etat Moret, mais bien M. le conseiller d’Etat Borloz – il manque de gymnases, ou il y a trop de gymnasiens ! Cette question est à appréhender et à traiter. A chaque fois que l’on décide de construire un nouveau gymnase, on accepte de ne pas traiter le fond de la question, mais de répondre à un problème dans l’urgence.
Aujourd’hui, nous allons voter dans le sens proposé par le Conseil d’Etat, mais nous regrettons une fois de plus cette vision de « toujours plus de gymnasiens, toujours plus de constructions », sans une réflexion de fond sur les questions suivantes : « Où va-t-on avec notre enseignement ? Où va notre système de formation ? Quel est réellement l’avenir de la formation dans notre canton ? »
Le groupe des Verts vous recommande également d’accepter l’entrée en matière et de voter en faveur de ce projet de décret. Ce projet, en plus d’être très attendu et nécessaire, est également attractif. J’aimerais souligner que le concept de mobilité a déjà été annoncé, avec la proximité de la gare et les 200 places de vélos. J’aimerais également saluer le fait qu’une partie des infrastructures sera accessible à la population en dehors des heures de cours du gymnase. C’est une bonne chose !
Au niveau des principes constructifs, énergétiques, techniques et physiques du bâtiment, j’aimerais saluer l’utilisation du bois – et du bois scolyté – l’installation de pompes à chaleur, la production d’énergie photovoltaïque, l’adoption de solutions low-tech, la végétalisation prévue et la gestion de l’eau à ciel ouvert. Je vous invite à suivre les recommandations de la commission et à accepter l’entrée en matière et le projet de décret.
En effet, ce dossier du gymnase du Gros-de-Vaud à Echallens date d’un certain nombre d’années. C’est un moment important pour cette région. J’ai une pensée émue pour l’ancien syndic d’Echallens, M. Nicoulin, qui s’est beaucoup battu et qui est décédé il y a peu de temps.
Nous n’allons pas entendre mon collègue Aschwanden proposer un amendement en lien avec les salles de sport, car la VD6 est intégrée. De plus, rappelez-vous des séances épiques, notamment avec l’ancien conseiller d’Etat Broulis. Je remercie les gens qui se sont investis à l’époque, dont vous, monsieur le président : nous étions ensemble dans ces combats. Je remercie les communes du Gros-de-Vaud, qui vont également investir dans cette salle pour permettre à Echallens et ses environs d’avoir une salle à la hauteur de leurs ambitions.
Cet investissement me pose un gros problème. Le discours et la stratégie sur la formation professionnelle sont très contradictoires. On veut toujours davantage d’apprentis, mais on construit uniquement des gymnases. On parle d’un montant de 85,25 millions d’investissements, alors que l’on n’a jamais investi autant d’argent pour l’apprentissage. Dès lors, il faudrait admettre que le gymnase est la mesure étalon pour la formation professionnelle. Valider de telles sommes me pose problème. Régulièrement, on parle du gymnase de Crissier, de Bussigny ou d’Aigle, avec des montants énormes : pour ce projet de décret, il y a 10 millions de francs d’honoraires ! Il ne s’agit pas seulement des honoraires d’architectes, mais des honoraires de mandataires : cela représente 10 % du montant total de la construction de ce bâtiment. Il faudrait peut-être réfléchir à rééquilibrer les coûts de construction, peut-être à offrir moins de confort, de manière à pouvoir contrôler les coûts. Pour ce projet de décret, le coût du projet est basé, comme d’habitude, sur l’indice suisse des prix de la région lémanique, soit plus ou moins 15 %. Nous pouvons donc admettre que la facture finale avoisinera les 100 millions de francs, étant donné que le renchérissement n’est pas inclus dans le prix indiqué. Cela fait cher pour un gymnase ! Je me demande à combien revient le prix par gymnasien ? A l’avenir, je vous invite à offrir moins de confort dans ces bâtiments, à les équiper plus légèrement, en nous focalisant sur la qualité de la formation.
J’aimerais répondre à MM. De Benedictis et Gaudard. J’annonce mes intérêts : je fais partie de la Commission de gestion, pour le Département de l’enseignement et de la formation professionnelle (DEF). Nous sommes conscients qu’il faut absolument faire la promotion de la formation duale, des apprentissages, mais il ne faut pas oublier que nous sommes passés au gymnase en 4 ans. Dès lors, avec le gymnase en 4 ans, il y aura davantage de jeunes au gymnase et il faudra donc agrandir et avoir davantage de bâtiments. Pour autant, je ne pense pas que l’école professionnelle soit mise de côté. A la Vallée de Joux, il y a un projet pour l’école technique et l’Ecole des métiers a été agrandie à Vennes. Il est donc important de s’occuper des gymnases, en raison du passage au gymnase en 4 ans.
Il semblerait que je jouisse d’une certaine réputation de râleur dès qu’il est question d’activité sportive au niveau scolaire. Je tiens à rappeler à mon collègue de parti, Alexandre Berthoud, que mes remarques reposent exclusivement sur les bases légales, fédérales et cantonales, et que c’est ma seule et unique motivation lorsque j’interviens sur ce sujet.
Il va de soi qu’il y a encore du pain sur la planche, et c’est précisément pour cette raison qu’il est important de prendre la parole. Mais il faut aussi savoir reconnaître ce qui est bien fait. Je tiens donc à remercier Mme la conseillère d’Etat et M. le conseiller d’Etat en charge de la formation pour leur professionnalisme dans la préparation de ce dossier. Les réponses apportées aux questions que j’ai posées en commission ont été complètes et conformes au cadre légal. Merci à vous, et vive le sport !
Plus de 800 millions de francs ! C’est l’investissement du Conseil d’Etat depuis le début de cette législature. Jamais l’Etat de Vaud n’avait autant investi, et c’était nécessaire. Deux axes stratégiques majeurs ont guidé cet engagement : la formation et la sécurité.
L’objectif du Conseil d’Etat est aussi de développer des stratégies à moyen et long terme dans chaque domaine. C’est exactement ce qui a été fait ici, en partenariat avec le département de M. Borloz, avec une stratégie 2040 dédiée aux infrastructures essentielles : gymnases, écoles professionnelles et établissements de formation. Pour compléter les exemples donnés par Mme Baux, je citerai notamment le très beau bâtiment de l’Ecole professionnelle de Payerne, preuve que la formation professionnelle n’est pas oubliée. Je vous remercie donc de bien vouloir soutenir ce projet et adresse également mes remerciements à M. Aschwanden, qui est désormais satisfait – ce dont nous nous réjouissons. Vive le sport !
Deux interventions ont soulevé des points critiques : l’une affirmant qu’il n’existe pas de véritable stratégie de fond pour valoriser la formation professionnelle, l’autre s’interrogeant sur la raison pour laquelle nous construisons autant de gymnases et si peu d’écoles professionnelles. Or, comme l’a rappelé Mme Moret à l’instant, nous construisons bel et bien des écoles professionnelles. La planification rendue publique concerne à la fois les gymnases et les écoles professionnelles, avec de magnifiques projets à travers tout le canton. Vous avez d’ailleurs déjà voté les crédits pour deux établissements, à Saint-Loup et à Payerne. Il arrive que l’on ait la mémoire courte, mais les faits sont là : le développement est en marche, et les 800 millions évoqués par Mme Moret sont bien concrets et réels.
Quant à la stratégie de fond, le député qui la contestait il y a un instant n’est plus dans la salle. Il n’était sans doute pas là non plus fin 2022, lorsque j’ai répondu à des postulats sur le sujet, ni en 2023, lors des débats concernant la formation professionnelle. Il semble qu’il n’ait pas non plus suivi nos discussions en 2024 dans ce Parlement. On peut répéter les choses autant de fois qu’on le souhaite, mais il existe bel et bien une stratégie et nous la poursuivons avec les moyens que vous nous accordez – ou parfois que vous ne nous accordez pas. Bien entendu, je suis volontiers à disposition pour répondre à toutes les questions qu’il pourrait encore se poser.
La discussion est close.
L’entrée en matière est admise avec 2 abstentions.
Le projet de décret est adopté en premier débat à l’unanimité.
Projet de décret accordant au Conseil d’Etat un crédit d’investissement sous forme de subvention à fonds perdu de CHF 5’450’000.- en faveur de la compagnie du LEB pour contribuer à l’adaptation du passage inférieur de la gare d’Echallens permettant l’accès au nouveau Gymnase d’Echallens.
Premier débat
La discussion sur l’entrée en matière est ouverte.
Je n’y connais rien, je le dis d’emblée, mais lorsqu’on prévoit de dépenser 12,6 millions pour un passage sous-voies, il me semble que ce chiffre n’est pas indolore. D’après l’exposé des motifs, plusieurs variantes ont été étudiées par un bureau d’ingénieurs mandaté par le LEB. Nous nous trouvons ici dans une situation quelque peu inconfortable, avec trois partenaires qui financent le projet. On pourrait, avec bienveillance, craindre que chacun compte sur les autres pour s’assurer que le choix retenu est le plus pertinent et le plus rationnel.
J’aimerais donc poser deux questions. Premièrement, si c’est le LEB qui pilote le bureau d’ingénieurs, ce dernier est-il sélectionné selon les règles des marchés publics, ou en est-il dispensé étant donné que le LEB n’est pas directement l’Etat ? Deuxièmement, le bureau d’ingénieurs mandaté pour développer plusieurs variantes est-il rémunéré en proportion du coût de l’ouvrage qu’il choisit ? Ce sont des interrogations qui me préoccupent. N’étant pas membre de la commission, je n’ai pas eu l’occasion de les poser. Peut-être qu’elles ont déjà été abordées et ont obtenu des réponses. Toujours est-il qu’il me semble que nous sommes devenus un peu trop insensibles à la douleur lorsqu’il s’agit de voter des crédits pour des travaux publics.
J’en profite, pendant que mon équipe répond sur certains points, pour revenir sur la question précédente de M. Gaudard concernant le coût par étudiant du gymnase, que vous avez déjà voté : il s’élève à environ 80’000 francs par étudiant.
Concernant le LEB, c’est bien lui qui gère et sélectionne le bureau d’ingénieurs. En principe, les règles des marchés publics s’appliquent. Pour ce qui est de la question sur la rémunération du bureau d’ingénieurs en proportion du coût de l’ouvrage, un simple oui ou non me suffirait, mais je n’ai pas encore la réponse. J’interviendrai à nouveau tout à l’heure à ce sujet… Concernant le bureau d’ingénieurs, si la Direction générale des immeubles et du patrimoine (DGIP) ne sait pas répondre précisément à cette question, c’est parce qu’il s’agit d’un élément que nous ne possédons pas immédiatement. Je suis toutefois disposé à me renseigner et à vous envoyer l’information par courriel ultérieurement.
La discussion est close.
L’entrée en matière est admise avec quelques abstentions.
Le projet de décret est adopté en premier débat avec quelques abstentions.
Au vu de ce résultat très positif et de l’urgence de ce projet, je propose un deuxième débat immédiat.
Retour à l'ordre du jourLe deuxième débat est admis à la majorité des trois quarts (96 voix contre 7 et 11 abstentions).
Projet de décret accordant au Conseil d’Etat un crédit d’ouvrage de CHF 77’776’000.- pour financer la construction du nouveau Gymnase d’Echallens sur le site de Court-Champ à Echallens
Deuxième débat
Le projet de décret est adopté en deuxième débat et définitivement par 118 voix.
Projet de décret accordant au Conseil d’Etat un crédit d’investissement sous forme de subvention à fonds perdu de CHF 5’450’000.- en faveur de la compagnie du LEB pour contribuer à l’adaptation du passage inférieur de la gare d’Echallens permettant l’accès au nouveau Gymnase d’Echallens.
Deuxième débat
Le projet de décret est adopté en deuxième débat et définitivement par 101 voix contre 1 et 9 abstentions.