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24_REP_74 - Réponse du Conseil d'Etat au Grand Conseil à l'interpellation Florence Bettschart-Narbel et consorts - L'Unil soutient-elle le boycott des universités israéliennes ? (24_INT_39).

Séance du Grand Conseil du mardi 16 septembre 2025, point 23 de l'ordre du jour

Documents

Transcriptions

Visionner le débat de ce point à l'ordre du jour
Mme Florence Bettschart-Narbel (PLR) —

Je pense que cette réponse à mon interpellation a bien délimité ce qui relève de la compétence des différents chercheurs et ce qui relève de celle de l’institution que représente l’Université de Lausanne (UNIL). Je n’ai pas d’autres commentaires à apporter, mais je remercie le Conseil d’Etat pour sa réponse.

M. Stéphane Montangero (SOC) — Président-e

La discussion est ouverte.

M. Sébastien Cala (SOC) —

La réponse fournie par le Conseil d’Etat rappelle un des éléments fondamentaux de l’activité de recherche à l’UNIL, à savoir la liberté académique. Il est primordial que cette liberté soit garantie et ne soit pas altérée par le contexte politique ou géopolitique. En ce sens, je considère que le texte de notre collègue Florence Bettschart-Narbel porte d’une certaine manière atteinte à la liberté académique des chercheuses et des chercheurs. En sa qualité de députée, présidente du premier parti de ce canton, notre collègue a un pouvoir d’influence important. Par cette interpellation portée spécifiquement à l’encontre d’une chercheuse et par cette attaque politique portée à l’encontre d’une membre de cet hémicycle, Mme Bettschart-Narbel remet en question la liberté académique de tous les chercheurs et de toutes les chercheuses de l’UNIL. A mon sens, cette approche est dangereuse pour le monde académique, déjà régulièrement remis en question et attaqué par une part du plénum. Je me réjouis de lire que le Conseil d’Etat ne s’inscrit pas du tout sur cette voie et rappelle les fondamentaux de la liberté académique.

Mme Florence Bettschart-Narbel (PLR) —

Pour répondre à mon collègue Cala, je crois que la réponse du Conseil d’Etat apporte effectivement des éléments de réponse, mais je crois aussi que, lorsqu’on est chercheur à l’UNIL et que l’on joue également un rôle politique, pour être transparent envers la population, il faut préciser à quel titre on intervient lorsque l’on tient des propos publics – comme nous le faisons dans cet hémicycle en déclarant nos éventuels conflits d’intérêts. Je pense qu’il est important que ces différentes fonctions soient annoncées pour que les gens comprennent exactement dans quel cadre les propos s’inscrivent.

M. Stéphane Montangero (SOC) — Président-e

La discussion est close.

Ce point de l’ordre du jour est traité. 

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