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24_HQU_113 - Question orale Joëlle Minacci au nom d'Ensemble à gauche et POP - Des étudiants accusés à tort de slogans racistes par le Conseil d’Etat?.

Séance du Grand Conseil du mardi 5 novembre 2024, point 2.14 de l'ordre du jour

Texte déposé

En mai, les occupant.e.s de l’UNIL étaient contraints de quitter Geopolis à l’issue de négociations avec le rectorat. Une semaine plus tôt, le conseiller d’Etat Frédéric Borloz appelait à la fin de la mobilisation, faisant référence à «des slogans dont certains avaient un caractère raciste évident». Nous apprenons dans un article du Courrier qu’après analyse, l’Unil n’a rien trouvé de «juridiquement contestable» en ce sens. Alors qu’à l’époque M. Borloz refusait de donner des précisions, nous questionnons la légèreté des arguments menant un conseiller d’Etat à demander la fin d’une occupation pacifique. Nous relevons à quel point ces insinuations sont dommageables pour les étudiant.e.s concernées, au moment où le soutien à la Palestine paraît plus légitime que jamais vu les graves violation des droits fondamentaux par l’armée israélienne.

 

Le Conseil d’Etat n’aurait-il pas dû faire preuve de prudence dans ses prises de position sur l’occupation de l’UNIL vu l’absence de preuves à sa disposition?

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