Point séance

Séance du Grand Conseil du mardi 27 avril 2021, point 13 de l'ordre du jour

Texte déposé

La campagne de vaccination bat son plein sur notre canton et c'est une bonne nouvelle, cependant quelques couacs ont été relevés.

 

En effet lors du 19h30 de la RTS du 30 mars dernier un reportage faisant mention de deux personnes, vraisemblablement parmi d'autres, qui ont pu se faire vacciner en n'étant ni dans l'âge requis ni avec des problèmes médicaux particuliers. Elles confirment d'ailleurs dans ce même reportage avoir rempli correctement le formulaire d'inscription. 

 

Ces deux personnes d'une trentaine et d'une quarantaine d'années, qui n'habitent même pas notre canton, ont pu donc bénéficier de cette vaccination au détriment de personnes plus vulnérables, ce qui pose problème à mon sens.

 

Le patron du plan vaudois de vaccination, Monsieur Peters, confirme que tout plan peut comporter des failles et reporte la faute aux centres médicaux, respectivement aux médecins qui acceptent d'effectuer la vaccination tout en ayant connaissance que le/la patient(e) ne fait pas partie de la catégorie autorisée.

 

Le canton confirmant ne pas changer sa pratique en la matière, cela m'amène les questions suivantes au Conseil d'Etat :

 

- A ce jour, combien de personnes ont pu bénéficier de la vaccination alors qu'elles n'étaient pas dans les catégories autorisées ?

 

- Le canton prévoit-il de sanctionner les établissements et/ou médecins ayant procédé à une vaccination de patients non autorisés ?

 

- Si oui, quels sont les moyens dont dispose le canton pour contrôler et sanctionner ces établissements ?

 

Je remercie par avance le Conseil d'Etat pour ses réponses.

Conclusion

Ne souhaite pas développer

Liste exhaustive des cosignataires

SignataireParti
Sacha SoldiniUDC
José DurusselUDC
Denis RubattelUDC
Jean-Marc SordetUDC
Fabien DeillonUDC
Jean-Bernard ChevalleyUDC
Jean-François ThuillardUDC
Jérôme ChristenLIBRE
Nicolas BolayUDC
Pierre-Alain FavrodUDC
Yvan PahudUDC
Werner RiesenUDC

Transcriptions

Mme Sonya Butera (SOC) — Président-e

L’auteur n'ayant pas souhaité développer son interpellation en plénum, celle-ci est renvoyée au Conseil d’Etat qui y répondra dans un délai de trois mois.

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