Point séance

Séance du Grand Conseil du mardi 9 novembre 2021, point 8 de l'ordre du jour

Texte déposé

 

Mardi 26 octobre 2021, vers 08.15 h, un train routier s’est renversé sur l’autoroute A1 entre Nyon et Gland provoquant la fermeture de cette dernière durant la journée ainsi qu’une partie de la nuit suivante.

 

Le chargement s’étant renversé sur la chaussée, ceci a bloqué l’autoroute à la hauteur de Duillier, provoquant des perturbations inadmissibles sur une telle durée. De nombreux véhicules ont été bloqués et détournés sur la sortie de Nyon, pénalisant tous les usagers de cet axe de circulation.

 

La lenteur à débloquer la chaussée m’interpelle et je remercie le Conseil d’Etat de répondre aux questions suivantes :

 

  1. Lors de tels accidents : qui choisit l’entreprise de dépannage ?
  2. Y a-t-il un appel d’offres qui est organisé annuellement ou est-ce l’unité de circulation de la gendarmerie qui choisit régulièrement les mêmes intervenants ?
  3. Qui établit les directives en cas de tels dépannages et qui les met en place ?
  4. Le principe de faire intervenir une autogrue est dépassé. Les temps d’attente peuvent être extrêmement longs, surtout lorsque l’autogrue est éloignée du lieu du sinistre. D’autres moyens mieux adaptés existent, alors pourquoi systématiquement faire appel à des autogrues ?
  5. Qui dédommagera les usagers ayant subi un préjudice suite à cette fermeture inadmissible du transit autoroutier ?

Conclusion

Souhaite développer

Liste exhaustive des cosignataires

SignataireParti
Yann GlayreUDC
Pierre-François MottierPLR
Nicolas Croci TortiPLR
Carole DuboisPLR
Rémy JaquierPLR
Josephine Byrne GarelliPLR

Document

21_INT_139-Texte déposé

Transcriptions

Visionner le débat de ce point à l'ordre du jour
M. Guy Gaudard (PLR) —

Il y a une quinzaine de jours, un train routier s’est renversé sur l’autoroute A1 entre Nyon et Gland, fort heureusement sans faire de blessés graves. On peut toutefois être interpellé par la durée de la fermeture de l’autoroute. A-t-on fait appel aux bons dépanneurs ? Pourquoi s’agit-il systématiquement des mêmes intervenants ? Plusieurs questions se posent donc, par exemple concernant le choix de l’entreprise de dépannage. Un appel d’offres est-il fait ? Quelles directives sont appliquées ? Pourquoi les pompiers, pourtant techniquement très bien équipés, sont-ils systématiquement ignorés ? Et enfin, qui dédommagera les usagers ayant subi un préjudice ?

Mme Laurence Cretegny (PLR) — Président-e

L’interpellation est renvoyée au Conseil d’Etat qui y répondra dans un délai de trois mois.

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