Point séance

Séance du Grand Conseil du mardi 6 septembre 2022, point 4 de l'ordre du jour

Texte déposé

Depuis quelques années, soit le 1^er août 2015 le canton de Vaud a instauré une aide aux communes questions de sécurité avec un poste itinérant (Gendarmerie de proximité).

Ce bus « Gendarmerie de proximité » sillonne notre canton et passe d’une commune à une autre, ceci pendant 2 voire 3 heures à raison d’une fois par mois. Cela permet aux citoyennes et citoyens de pouvoir déposer une plainte pénale ou remplir un formulaire pour objets trouvés ou perdus sans tracasseries administratives, ce qui est apprécié.

En juillet 2016, un 2^ème bus a été inauguré afin de renforcer cette offre et permettre le passage dans d’autres communes.

 Je me permets de poser quelques questions au Conseil d’Etat :

1.-A ce jour, quel est le nombre de communes bénéficiant de la présence d’un passage d’un bus « Gendarmerie de proximité ?

2.- Si ce n’est pas l’ensemble des 300 communes VD, de quelle façon est fait le choix ?

3.-Quel est le nombre de passages dans ces bus par nos citoyennes et citoyens ?

4.- Quels sont les demandes les plus nombreuses de la part des citoyennes et citoyens ?

5.-En termes de coûts, après 7 années, quel est le coût de cette action pour les finances cantonales VD ?

Je remercie le Conseil d’Etat pour les réponses.

Conclusion

Souhaite développer

Document

22_INT_104-Texte déposé

Transcriptions

Depuis août 2015, le canton de Vaud a instauré deux postes mobiles de la gendarmerie de proximité, afin de venir en aide aux communes. Après sept ans, je me permets de poser quelques questions au Conseil d’Etat, telles que

• Quel est le nombre de communes bénéficiant de la présence d’un bus Gendarmerie de proximité ?
• Si ce n’est pas l’ensemble des 300 communes vaudoises, de quelle façon le choix est-il fait ?
• Quel est le nombre de passages, dans ces bus, de nos citoyennes et citoyens ?
• Quelles sont les demandes les plus nombreuses de la part des citoyennes et citoyens ?
• En termes de coût, après 7 années, je me réjouis de connaître le montant de cette action.

Afin de me rendre compte du bien-fondé de cette offre aux communes, je remercie par avance le Conseil d’Etat pour ses réponses.

L’interpellation est renvoyée au Conseil d’Etat qui y répondra dans un délai de trois mois.