Transformation et commercialisation de la viande prélevée par les gardes-faune
Transformation et commercialisation de la viande prélevée par les gardes-faune
Dans sa réponse à une interpellation du député Pierre-François Mottier, le Conseil d’Etat rappelle que l'appel à candidatures évoqué dans l'interpellation n’était pas limité à une entreprise, mais ouvert à toute firme répondant et acceptant les conditions données. Au nombre de celles-ci figuraient notamment l’exigence de disposer d’un laboratoire et d’une chambre froide dédiés exclusivement au gibier et conformes aux prescriptions de la Direction générale de l'agriculture, de la viticulture et des affaires vétérinaires. L’absence de garantie sur la quantité minimale de viande pouvant être mise à disposition par le corps de gardiennage constituait une autre condition. Au vu de ces contraintes, seules deux entreprises ont postulé. Au final, une seule satisfaisait et acceptait les critères et conditions. A noter que les chasseurs demeurent libres d’écouler leur gibier au boucher de leur choix, s’ils ne souhaitent pas conserver tout ou partie à usage personnel.
Renseignements complémentaires
DES, Frédéric Hofmann, chef de la section chasse, pêche et surveillance, Direction générale de l’environnement, 021 557 86 49
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