10.11.2008

Accident mortel de la circulation sur l'autoroute A1

Dimanche 9 novembre 2008, vers 21h00, un accident mortel de la circulation est survenu sur l'autoroute A1, chaussée Jura, entre les jonctions de Nyon et Coppet, au km 26.

Un conducteur français âgé de 25 ans, circulait en direction de Genève lorsque, pour une raison indéterminée que l'enquête établira, il percuta avec l'avant de sa voiture, l'arrière d'une automobile genevoise, conduite par une dame de 71 ans. Sous l'effet du choc, la voiture genevoise partit en vrille puis heurta avec le côté gauche un panneau à vitesse variable. Incarcérée, la conductrice a succombé à ses blessures, malgré les soins prodigués sur place.

Sont intervenus sur place, 3 patrouilles de gendarmerie, plusieurs pompiers, 3 ambulances, le Service médical d'urgence et de réanimation ainsi qu'un hélicoptére de la Garde aérienne suisse de sauvetage (REGA).

Le trafic autoroutier a été perturbé pendant près de 4 heures, pour les besoins du constat et le rétablissement de la chaussée.

Une enquête a été ouverte par le Juge d'instruction de service.

 

Appel aux témoins

Les éventuels témoins de cet accident sont invités à prendre contact avec le Centre d'intervention régional de l'Ouest (CIR-Ouest), à Bursins, au numéro 021 557 96 21.

Triple homicide de Vevey - condamnation confirmée

La Cour de cassation pénale du Tribunal cantonal vaudois a rejeté le recours déposé par l'accusé dans l'affaire du triple homicide de Vevey. Le jugement rendu le 27 juin 2008 par le Tribunal criminel de l'Est vaudois et condamnant F.L. à une peine privative de liberté à vie pour deux assassinats et un meurtre, est confirmé.

Le 27 juin 2008, le Tribunal criminel de l'Est vaudois a reconnu F.L. coupable du meurtre de sa mère et des assassinats d'une amie de celle-ci et de sa propre sœur, commis le 24 décembre 2005. Malgré les dénégations de l'accusé et le fait que le corps de la troisième victime n'a pas été retrouvé, les juges de première instance avaient acquis la conviction de sa culpabilité, en se fondant notamment sur deux traces d'ADN découvertes l'une sur le vêtement de l'une des victimes, l'autre sur une paire de ciseaux retrouvée à proximité de l'un des corps. Les éléments mis en évidence lors de l'enquête approfondie menée par le juge d'instruction et la police de sûreté et lors des débats fouillés conduits sur une semaine par le Tribunal avaient également convaincu celui-ci de l'homicide perpétré par F.L. sur sa sœur, dont il a ensuite fait disparaître le cadavre.

Les motifs de l'arrêt cantonal, rendu à huis clos, seront communiqués ultérieurement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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