25_INT_53 - Interpellation Olivier Petermann et consorts au nom Au nom des groupes PLR et UDC - Loups appartenant à une meute présentent un comportement indésirable : des délais incompréhensibles ! (Pas de développement).

Séance du Grand Conseil du mardi 6 mai 2025, point 4 de l'ordre du jour

Texte déposé

Ces derniers jours, le passage du loup au sein de plusieurs troupeaux d’ovins correctement protégés par des clôtures de protection de type filet, à minima de 105 cm de hauteur, s’est tout de même soldée par la mort de plusieurs ovins dans la région du pied du Suchet, comme mentionné sur le site de l’Etat de Vaud :

Le 15 avril 10 ovins à Valeyres-sous-Rances, le 20 avril 1 ovin à Lignerolle, clôture à 120 cm, le 21 avril 2 ovins et 1 caprin à Rances et le 25 avril 2 ovins dans le même troupeau que le 15 avril à Valeyres-sous-Rances malgré le rehaussement de la clôture à 130 cm préconisé suite à la première prédation.

Dans ce cadre-là, nous nous étonnons des conclusions rapides du Canton de Vaud quant au fait qu’il s’agissait d’individus issus de la meute du Suchet alors qu’il faut ensuite plusieurs semaines pour confirmer ou infirmer la chose. Dans ce cadre-là, cette précision a des conséquences administratives importantes pour les éleveurs concernés et nous nous retrouvons dans la situation inacceptable où il faut attendre le 1er juin pour pouvoir prendre des mesures contre un ou plusieurs animaux clairement problématiques.

Nous posons donc les questions suivantes au Conseil d’Etat :

  • Comment expliquer que la DGE ait pu immédiatement conclure au fait que l'attaque provenait de la meute du Suchet, avec les conséquences connues en matière de régulation réactive ?
  • Comme il faut dorénavant environ un mois pour prouver ou infirmer le fait que l'attaque était bien liée à une meute, est-ce normal que le doute profite aux loups plutôt qu'aux éleveurs ?
  • Comment expliquer le fait qu'il faille plusieurs semaines voire plus d'un mois pour effectuer ces analyses ADN ? N'existe-t-il pas un moyen d'accélérer la procédure ?
  • Concernant les prédations à Valeyres-sous-Rances, des mesures de protections avaient déjà été prises lors de la première attaque puis ont été renforcées avec deux fils supplémentaires, portant la hauteur de la clôture à 130 cm avant la seconde, et ceci n'a malgré tout pas suffit. Quelles solutions peuvent être proposées aux éleveurs de la région concernée entre la mi-avril et le 1er juin en zone SAU et non d’estivage ?

Conclusion

Ne souhaite pas développer

Liste exhaustive des cosignataires

SignataireParti
Maurice NeyroudPLR
Denis DumartherayUDC
Jean-Franco PaillardPLR
Carole DuboisPLR
Florence GrossPLR
Jerome De BenedictisV'L
Fabrice TannerUDC
Sergei AschwandenPLR
Grégory BovayPLR
Michael DemontUDC
Nicolas SuterPLR
Marc MorandiPLR
Jean-Bernard ChevalleyUDC
Guy GaudardPLR
Florence Bettschart-NarbelPLR
Anne-Lise RimePLR
Pierre-François MottierPLR
Regula ZellwegerPLR
Pierre-Alain FavrodUDC
Cédric WeissertUDC
Olivier AgassisUDC
Monique HofstetterPLR
Alexandre BerthoudPLR
Aurélien DemaurexV'L
Josephine Byrne GarelliPLR
Isabelle FreymondIND
John DesmeulesPLR
Mathieu BalsigerPLR
Georges ZündPLR
Laurence BassinPLR
Patrick SimoninPLR
Jean-Louis RadiceV'L
Blaise VionnetV'L
Laurence CretegnyPLR
Carole SchelkerPLR
Aurélien ClercPLR
Jacques-André HauryV'L
Valentin ChristeUDC
Philippe GermainPLR
Loïc BardetPLR
Jean-Luc BezençonPLR
Thierry SchneiterPLR
Marion WahlenPLR
Chantal Weidmann YennyPLR
Jean-François CachinPLR
Charles MonodPLR
Bernard NicodPLR
Pierre-André RomanensPLR
José DurusselUDC
Gérard MojonPLR
Stéphane JordanUDC
Aliette Rey-MarionUDC
Nicolas BolayUDC

Documents

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